Remerciement à l'US Terre-Sainte


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Le dévouement et la passion

 

Le match de coupe contre Lausanne a été l'occasion de rendre hommage à deux membres fondateurs - deux légendes vivantes - du FC Collex-Bossy. Joseph Crispini, dit Pino, et Marcel Pesenti, dit Mimi, ont donné le coup d'envoi du 32e de finale de coupe de Suisse samedi 17 septembre.

Pino et Mimi incarnent deux vertus cardinales du FC Collex-Bossy: le dévouement et la passion. Président de 1963 à 1982, Pino Crispini se dévoua sans compter pour un club qu'il a voulu comme une grande famille. Dirigeant débonnaire et charismatique, il reste pour tous un exemple de droiture et de chaleureuse bienveillance. Chaque année en juin, le tournoi Crispini honore son action en faveur des juniors.

Le domaine de Mimi fut et demeure le terrain. Joueur de la première équipe du club en 1962, capitaine de la volée qui accéda à la deuxième ligue, il fonda ensuite la section vétéran qu'il dirigea durant 27 ans avec un goût acharné de la victoire mais sans jamais trahir les valeurs de fair-play et de convivialité. A bientôt 70 ans (il les fêtera en décembre), il continue de s'entraîner le mercredi soir avec les V2.

 

Remerciement Famille Fatton

Le FC Bâle à Collex

Samedi 10 septembre, aux environs de 10h, le FC Bâle a fait une halte au stade Marc Burdet pour un entraînement léger avant son succès le soir au Stade de Genève sur Servette (0-4). Descendus du bus en tenue d'entraînement et sandalettes de l'hôtel aux pieds, les joueurs bâlois se sont rendus directement sur le terrain A pour 45 minutes de réveil musculaire. L'exercice terminé, ils sont repartis aussitôt, non sans signer quelques autographes aux jeunes du club présents, lesquels ont pu voir de près les Streller, Frei, Huggel et surtout Xherdan Shaqiri, à peine plus haut qu'un junior C mais à l'impressionnante musculature.

 

Le président du FCCB Mehdi Derouazi a eu le temps d'échanger quelques mots avec Thorsten Frink, l'entraîneur rhénan, et le Team Manager pour les inviter à revenir s'entraîner à Collex lors d'un prochain passage à Genève. Si Frink est superstitieux - tous les footballeurs le sont un peu - Bâle reviendra car on ne change pas une routine qui gagne!


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